Lorsque vous avez à gérer une agglomération ou une collectivité, vous endossez généralement la responsabilité de la sécurité routière. Un gros morceau en matière d’administration. Et qui implique d’organiser la circulation dans le territoire concerné, en y plaçant les panneaux routiers les mieux à même d’améliorer le confort de tous. Comment s’y prendre pour atteindre cet objectif de la meilleure manière, afin que ces équipements se montrent réellement utiles ?

Bien choisir ses panneaux routiers pour anticiper l’ensemble des problèmes potentiels de sécurité routière

Sorti de son contexte, un panneau routier ne sert absolument à rien. C’est parce qu’un tel item est placé judicieusement qu’il permet aux usagers de la voie publique de comprendre le risque auquel ils s’exposent à un moment T, dans un contexte précis.

Pour que les panneaux améliorent effectivement la sécurité routière générale, il est donc nécessaire de bien les choisir. Pour cela, on se tournera vers un constructeur comme Seton, capable d’éditer les différents panneaux routiers existants dans des tailles diverses :

• Les panneaux de type A, qui préviennent d’un danger ;
• Les panneaux de type B, qui imposent une interdiction ;
• Les panneaux de type AB, qui réglementent les priorités ;
• Les panneaux de type C et CE, qui portent une indication ;
• Les panonceaux de type M, qui portent des mentions spécifiques.

Par ailleurs, cela fait maintenant un demi-siècle que Seton s’impose dans le secteur du matériel de sécurité. Ses équipements répondent à toutes les exigences les plus restrictives, et sont conçus dans des matériaux de qualité. Cela tombe bien : il s’agit de conditions essentielles pour que ces pictogrammes puissent effectuer leur mission.

Améliorer la sécurité sur la route grâce au différentes classes de rétro-réflexion

Car pour vraiment améliorer la sécurité routière des personnes, un panneau routier doit aussi être visible. Cela signifie qu’en fonction de l’endroit où il est placé, il devra appartenir à la bonne classe de rétro-réflexion. Sans quoi, il risque d’être aperçu trop tard par l’automobiliste… Gare à l’accident de la route !

Comme son nom l’indique, le principe de la rétro-réflexion vise à doter un objet d’une propriété : celle de renvoyer la lumière dans sa direction d’origine. En pratique, l’idée est de rendre un panneau plus voyant pour un conducteur qui l’éclairerait de ses phares.

Pour ce faire, les fabricants utilisent des microbilles de verre ou des technologies microprismes pour concevoir la surface rétro-réfléchissante de leurs produits. On notera qu’il existe 3 classes de rétro-réflexion :

• Les panneaux routiers de classe 1 fournissent une performance de réflexion moyenne. Ils sont adaptés aux routes secondaires ou aux zones urbaines où l’on doit rouler en dessous de 70 km/h ;
• La classe 2 convient aux routes principales et aux voies rapides ;
• La classe 3 désigne les panneaux dotés d’une très haute rétro-réflexion : ils sont tout indiqués pour équiper les autoroutes.

Une durabilité et une résistance à toute épreuve : optez pour des panneaux conformes aux normes NF et CE

Pour remplir pleinement sa fonction, un panneau routier doit être fabriqué en aluminium. Pourquoi ? Parce que la résistance à toute épreuve de ces objets permet de garantir la sécurité de l’usager.

• Ces panneaux résistent à la corrosion, et demeurent lisibles sur le long terme ;
• Ils sont insensibles à la chaleur ou au froid et ne se détériorent pas ;
• Légers mais rigides, ils offrent également une bonne résistance au vent et ne se déforment pas.

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard : les produits certifiés conformes aux normes NF et CE se trouvent la plupart du temps fabriqués dans ce matériau. Pour être certain de mener votre mission avec succès, il est donc hautement conseillé de sélectionner ce type d’équipement. A condition que le prix de ces panneaux de signalisation reste correct !